John Carter (2010) (French)

    

 Basé sur une histoire intitulée « A Princess Of Mars », ce film raconte l'histoire d'un cavalier de Virginie qui se retrouve transporté depuis la terre vers Mars dans un éclair de lumière (littéralement, il a été téléporté en quelques secondes) lorsqu'il détecte un immortel appelé un Thern avec un médaillon. Disney implémente une vaste CGI pointe pour donner des centaines de Martiens verts, un alien chien et les navires qui peuvent voler dans le ciel. 

 John Carter commence comme un cavalier capricieux qui détourne de ses devoirs et l'engagement envers son pays. Il est évident dans une scène qu'un colonel résout le problème sous-jacent des Apaches, attaquer les gens dans leurs foyers et avant qu'il peut terminer, Carter lui interrompt deux fois en agressant les officiers et sauter hors de l'immeuble. Carter affirme son désintérêt pour l'affaire qui nous occupe aussi obstinément que possible. 

  

John retrouve sa grotte d'or où se cache un étranger. Il lui tire et se retrouve transporté instantanément vers Mars (« vrai » nom « Belhadj »). Ici il peut franchir de grandes distances, contrairement aux habitants de belhadj. Mais le problème est que l'intensité gravitationnelle sur Mars n'est pas aussi petite que c'est sur la lune ; bondissant alors à telle ampleur s'effectue uniquement sur la lune, pas sur belhadj. Bien sûr, la seule raison que Carter est capable de ceci est parce qu'il a adapté à la gravité terrestre et non à de belhadj. 

 Il trouve quelques formes de vie sur la planète et est frustré par son incapacité à communiquer avec les martiens (appelés Tharks). Il ne sait pas encore où il est et ces habitants erronée « Virginia » pour son nom (je parie que le public riait de sa tête quand ce malentendu a persisté comme "Virginia est aussi un prénom féminin). Je peux comprendre pourquoi ce film a un budget aussi grand : pour animer tant de Martiens doit avoir pris tant de travail et d'argent, surtout que les hachures sont préoccupées. Je veux dire regarder hurler masse fr était redoutable assez ! Et vu la taille de l'oeuf et la stature de le Tharks, n'importe qui serait être dérouté par la capacité à poser un oeuf de cette nature !

Et s'il y a une autre créature à éviter de regarder, c'est un martien chien appelé Woola. C'est incroyable que cette chose peut voyager si vite sans rien obtenir de la manière. En cela, c'est toujours plein de ressources à un moment quand le Carter est en péril, deux fois par un Thern. Combien ils ont passé sur cette créature a contribué à ce budget. 

   

 Heureusement, il y a des êtres humains sur belhadj partage avec d'autres êtres sensibles et les bêtes de la planète, et la princesse arrive à être humain. Toutefois, ces humains sont patchés avec rouge comme si un résultat des plaines rouges de belhadj, hautement contrairement à Carter. 

  

 Tout au long de l'histoire, Carter évolue d'un homme têtu à un avec une cause. Il se consacre à sauver quelqu'un en sautant comme un homme n'est lié par les lois de la physique, donnant à chaque Thark un Sauveur de verrouillage à. Il apprend à se battre pour une planète, qu'il n'est pas originaire de rétablir l'ordre, plutôt que de simplement disparaître vers la terre (Jasoom) comme un lâche. En fait, il parvient à terminer sa journée un vainqueur plutôt que de vivre dans le rêve d'un imbécile d'aucune passion pour l'aventure, ou vision pour l'avenir. 

  

 Mais n'oublions pas la quantité de violence incorporée dans ce film : elle a été déposée graphique sans n'importe quel [rouge] sang ne soit versée, mais avec du sang bleu s'écoulant en leurs systèmes. Pour un homme seul tuer tant de bêtes violentes doivent être palpitant et intense, mais assez peu convaincant pour quelqu'un qui n'a jamais été sur un champ de bataille où abattage est le cas.

En quelque sorte ce film n'est ni grand ni lamentable, mais avoir à regarder c'est vivifiant. Il est typique de la formule de Disney : un héros se développe, sauve une demoiselle en détresse, tombe amoureux d'elle et ils vivent au Havre.